Assassin’S Creed Infinite Crisis
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 Test RP Elena

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2 participants
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Sujet 21

Sujet 21


Points de Force : 751
Points de Guilde : 58587

• Progression du personnage RP •
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MessageSujet: Test RP Elena   Test RP Elena Icon_minitime1Dim 17 Mar - 22:12

Nom:Flèche d'argent(Elena)
Résume:Elena qu'on surnomme la Flèche d'argent qui a étaie abandonnée au coté de ça mère étant petit durent la renaissance, plus tard elle la rejoint une confrérie secret qui as existé déplus la nuit des temps les Voleurs raconté la rencontre de celle qui deviendra la Flèche Argente et la confrérie des Voleurs.
Nombre de Ligne: 20 ligne
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Jelena Cekelin

Jelena Cekelin


Points de Force : 20
Points de Guilde : 43051

• Progression du personnage RP •
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MessageSujet: Re: Test RP Elena   Test RP Elena Icon_minitime1Dim 17 Mar - 23:04

Bâtarde. Ce mot, je n'ai cessé de l'entendre des lèvres de tout mon entourage. De celles de mon père, le plus souvent. Il refuse de légitimer ma naissance, même après que je me sois mise à genoux devant lui. Il a posé ses pieds sur mon crâne et à écraser mon visage au sol pour essuyer ses talons sur mes cheveux. Depuis, je n'accepte plus qu'on prononce ce mot. Plus jamais devant moi, plus jamais depuis que j'ai goûté l'humiliation.

Je pris un jour un sac, que je remplissais de quelques vivres et habits, que je balançai par dessus mon épaule avant de saluer ma mère d'un bref mouvement de menton. Ce furent des salutations brèves mais une tombe ne peut pas répondre. De mon départ, je me souviens d'un vent fugace qui m'a apporté les dernières effluves dégagées par le feux de cheminée crépitant doucement dans la chaume qui m'a hébergé durant de longues années. Je les ai longuement inspiré sans m'arrêter de marcher, décidée à vivre autrement que par le fruit de mes pêches. Celles-ci ont été maigres, dernièrement, mais je veux mener une toute autre vie. J'ai besoin de voyager, de respirer qu'un autre air que celui salé de la mer, de voir de nouveaux paysages avec des reliefs en briques, bois, tuiles et tout autres matériaux.

Je me souviens avoir descendus au Sud de la carte de France, découvert en chemin de nombreuses contrées en dissimulant mon visage sous une capuche blanche qui me protégeait des intempéries. Les gifles venteuses de l'automne et le froid mordant de l'hiver ne purent me faire rebrousser chemin. J'ai suivis la Seine jusqu'à atteindre Paris, une grande agglomération où je me suis vite morfondue parmi les citadins. En m'arrêtant à un bar... Je me rappelle comme si c'était hier de l'haleine poisseuse de l'homme qui est venu jusqu'à moi en me prenant pour une courtisane et m'a jeter une bourse sous le nez pour payer mes services. Que bien sûr, je n'offrais pas. Pas même pour de l'argent, ou l'honneur salie pas mon père. Il a insisté, m'a léché le coup et susurrer des illusions avant même qu'on ait établie d'arrangement entre nous. J'ai remarqué à ma portée un couteau de cuisine, laissé par un buveur qui a abandonné son assiette de pommes de terre et ses dizaines de choppes écumées pour aller déverser l'alcool trop vite consommé à l'abri de nos regards. Je l'ai glissé dans ma manche et furtivement amené à la main que le poltron a posé sur le bar pour se pencher au dessus de ma poitrine. Poltron, car ses yeux devinrent aussitôt larmoyants dès qu'il remarquai mon arme plantée entre son index et son majeur. Même si son crâne était embué de vapeurs d'alcool, il a sut que je peux viser sa main. J'ai approché mes lèvres de ses oreilles et lui ai conseillé sur un ton langoureux de retourner à sa place sans faire d'histoire. Il a suivit mon conseil, ce qui fus judicieux de sa part, et j'ai profité d'un repas copieux avec l'argent reçus. Un homme capuchonné s'est installé à ma gauche, m'a servis une bière et m'a proposé à voix basse dans sa barbe de deux jours de rejoindre son organisation. Je n'ai sus si c'était un voleur, un assassin, ou un autre malfaiteur, mais j'ai refusé et repoussé sa choppe.

Je suis allée ensuite jusqu'à Lyon, où j'y ai acheté des vêtements en soie. Une tenue légère me convint, en plus de quelques peaux de bêtes si le temps devait se glacer. J'y ai croisé le chemin d'un homme capuchonné, qui me fixait avec insistance une fois que je l'eus dépassé. Il m'a intercepté au carrefour suivant et me prit le bras en me proposant de boire un verre avec lui. Je ne pouvais refuser, j'ai donc accepter. Celui-ci ne fut pas le même que celui croisé à Paris, il avait de la pilosité grisonnante au menton et une voix grinçante. Il m'a proposa de rejoindre sa guilde d'assassins, dont le subordonné croisé plus haut sur la carte de France a vivement conseillé mon intégration en raison de mes capacités potentielles. Son regard de braise m'a vivement suggéré de profiter de l'opportunité qu'il me proposait d'améliorer mes capacités physiques. Il a insisté en me parlant des templiers contre lesquels il mène une bataille sans merci et de nobles qui se sont joints à leur cause... Il n'en fallut pas plus pour que je devins sa disciple.

J'ai alors entraîné mes sens au milieu de différents environnements pour apprendre à me morfondre dans chacun d'entre eux. J'ai développé une habilité au maniement de lames courtes qui surpassa en trois mois celle de mon maître, qui me surpassai avec ses pièges ingénieux. Il m'a apprit à en poser quelques uns, a connaître l'anatomie de mes victimes pour savoir les coups mortels et ceux bénins. Il m'a aussi enseigné les recettes de quelques poisons, appris à escalader dans les arbres et à me cacher dans les champs de céréales. Je devins une assassine habile, puis on me confia quelques missions pour m'aguerrir. Mais un jour, j'ai dus partir en mission avec d'autres assassins pour envahir un manoir. Nous devions tuer une famille entière. J'ai planté mes lames dans les corps, n'ai cessé d'enchaîner mes coups et sentis l'adrénaline pomper dans mes veines. J'ai fais crouler au sol plusieurs corps, dont ceux de mes alliés. Je m'étais laissée emporter, et j'ai tué les assassins que je devais assister.

Le regard du maître de la guilde fut plus sulfureux qu'à notre rencontre quand je revins de la mission. Ma fidélité et mon sens de l'honneur m'ont empêché de prendre la poudre d'escampette avant qu'on ne découvre les dégâts que j'ai occasionné. J'ai accepté mon sort. Il me mit à nue et planta une lame dans ma cuisse et la fit descendre du bassin jusqu'au genoux. Il en prit une seconde et en fit autant. Il me les a ensuite donné, et fais jurer de ne plus jamais devenir assassin. Et dès le lendemain, j'étais devenue la Flèche d'argent. Je dus fuir Lyon pour sauver ma peau, sans lever une seule fois mon visage de mon capuchon.

J'ai quitté Lyon, continué mon chemin d'âme errante jusqu'à croiser le chemin de voleurs qui ont tenté de me dépouiller. Je les ai mis à terre avant qu'ils ne touchent à ma bourse, l'un d'eux pourtant m'a prit au dépourvus et m'a obligé à m'incliner. Il a comprit d'où je tenais l'enseignement qui a forgé la souplesse de mon corps et m'a proposé de rejoindre une toute autre guilde que celle des assassins. J'ai refusé, ne voulant commettre à nouveau le massacre de mes prochains alliés. Il n'a pas insisté.
Je le regrettai amèrement quand une averse se déclara après que les voleurs aient décampé. Je dus dormir au pied d'un sapin, grelottant de froid et me laissant mourir de faim. Quand j'ai rouvert mes paupières, j'étais dans une chambre éclairée à la lumière d'une chandelle, le chandelier posé à côté d'une assiette de soupe tiède. J'étais sur un matelas dur mais confortable, et un homme me regardait de haut avec un grand sourire. J'étais à sa merci, démunie de mes armes et de mes habits. Couchée sous une couverture protégeant seule mon corps. L'homme m'a reconnu comme la Flèche d'argent, la femme aux lames carmins assoiffée de sang. Il me confia avoir lui-aussi été assassin et avoir lui-aussi connue cette incontrôlable soif. Il m'expliqua même que la plupart des voleurs de sa confrérie ont connus le même cas. Il s'est dévêtis de son manteau pour me présenter une cicatrice semblable à son bras, et me proposa de nouveau de rejoindre ses rangs. Après qu'il m'eut longuement parlé de son passé, me laissant le temps de l'écouter avant de répondre, je décidais en premier lieu de refuser. Mais il enchaîna en parlant de la confrérie, éparpillée depuis plusieurs siècles sur plusieurs territoires, accomplissant des missions variées sous les ordres de règles strictes et primordiales à respecter,...

A ma place, auriez-vous refuser si l'on prenait en otage vos habits et seules armes de défense ?
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