Pendant des mois et des mois, Fernando ne cesse d’entraîner Juan. Mais il à encore des progrès à faire. Camillo, un peu plus loin et qui observe l’entraînement, pensait à voix haute :
« Incroyable. En si peu de temps, il à réussi à obtenir le rang de Capitan. Même moi, j’ai du mettre un peu plus de 5 mois pour y parvenir. Je devrais être jaloux, mais je suis plutôt heureux que nôtre guilde compte une recrue comme lui. Il a du potentiel. Il deviendra un puissant Assassin. Prions pour qu’il ne quitte pas la voix de la sagesse » et sur ces paroles, Camillo s’en va.
« Bien bien. Affirma Fernando. Il est l’heure de la leçon de philosophie. Le professeur Paco va t’aider à réviser notre credo, et l’histoire de la naissance des Assassins. En attendant, je dois aller en ville. Une mission m’attend.
- Si, señor.
-SI tu continues dans cette voie, dans 7 jours, tu pourra faire, en ma compagnie, ta toute première mission en tant que Capitan de los Assessinos. Cela sera tout pour aujourd’hui. Tu peux disposer. ¡Pronto ! »
Sur ces paroles, Juan regagna sa chambre, où il tomba nez à nez avec Mercedes. Cette dernière l’attendait :
« Est-ce que… bégaya Mercedes toute rouge de timidité, est ce que tu aimerais qu’on aille se promener après ?
-Euh… c’est une excellente idée. Laisse-moi juste prendre un bain.
-Entendu » et Mercedes quitta la pièce, les mains sur le visage cachant ses joues toutes rouge tomate.
Ayant fini son bain, Fernando attendais Juan pour lui annoncer quel serait sa mission :
« Ta cible, sera Don Paolito de Sanchez, un riche marchand d’arme qui vit dans la province de Barcelone. Ce type alimente nos ennemis en arme redoutable contre de l’argent. Ta mission sera de le stopper et, par la même occasion t’emparer des armes qui nous seront utiles. Lorsque ta cible sera éliminée, envoie un signal avec cette petite fusée. Nous viendrons t’aider à prendre ces armes. Ta mission débutera dans une dizaine de jours.
-Compris. »
Maintenant Juan va se faire beau pour aller se promener dans Valence avec Mercedes. Cette dernière s’est également faite belle pour lui. Juan la complimente :
« Eh bien, tu es… muy hermosa.
-Toi aussi»
Mercedes sortit un petit bijou qu’elle avait acheté quelques heures auparavant.
« qu’il est beau, exclama de joie Juan. Je te remercie beaucoup. Ca me touche.
-De rien, je savais que cela te plairait. Bien, si l’on sortait, profitons de ce soleil, radieux. Allons nous promener dans le parc « Naturaleza verde y hermosa ». Les plantes là -bas sont magnifiques.
-Je te suis, très chère.
-Nous pourrons, reprit Mercedes toute rouge, nous coucher dans l’herbe et regarder les nuages passer au dessus de nos têtes.
-Pourquoi pas » et sur ces mots, ils partirent, comme en amoureux.
Arrivé devant le parc, Juan devient émerveillé devant cette beauté. Ce parc respire un air doux et agréable pour ses narines. Mercedes et Juan décident de se coucher sur l’herbe à l’ombre d’un arbre, leurs yeux qui fixent les nuages qui passent. Quelques minutes plus tard, Mercedes regarde Juan qui dégage une joie débordante, commence à se rapprocher lentement de lui. Ils ferment les yeux et s’embrassent. La sensation procure au jeune couple une excitation et une joie aussi puissantes que des anges qui viennent bercer un enfant.
Seulement, le moment agréable est de courte durée puisque l’appareil vibre.
« Excuse-moi Mercedes, il faut que j’aille… au petit coin. Je reviens attends-moi ».
Juan cours se réfugier derrière un arbre et décroche :
« Merde, vous m’avez coupé dans mon élan. J’étais en train de passer une excellente journée. Que se passe-t-il ?
-Navré de t’importuner mais j’ai une bonne nouvelle, dit Violetta. Si tu le désires, je peux t’avancer dans le temps afin que…
-Non ! Coupa Juan. Je veux passer le reste de cette journée sans me soucier de vos petits problèmes de l’Animus. Désolé de vous le dire comme ça. Dois-je te rappeler que j’ai perdu mes parents à la suite d’une invasion de ploucs déguisés en soldats nazis de la Seconde Guerre Mondiale ? Dois-je te rappeler que j’ai perdu tout ce à quoi je tenais : mes amis, ma famille, mon amour ? Je veux passer cette journée tranquillement. S’il vous plaît.
-D’accord. Je suis navré pour toi Juan. Nous te rappellerons plus tard.»
Juan se redirige vers sa douce Mercedes qui lui demande :
-Où étais-tu mon cœur ?
-Comme je te l’ai dit, j’étais parti faire mes besoins. Tu m’as appelé « mon cœur » ?
-Bien sûr mon ange, je t’aime, et ce petit surnom te va si bien.»
Juan était aux anges. Avoir quelqu’un qui l’aime à ses côtés après avoir perdu tous ceux qu’il a vu périr au cours du massacre de son école.
Le soir, les deux amoureux arrivent au repaire, main dans la main. Ils vont se coucher.
Quelques jours passent, et l’amour entre Juan et Mercedes ne cesse de grandir.
Hélas, le jour de la première mission de Juan arriva :
« Bien, dit Fernando. Ta mission sera de tuer un riche marchand d’arme qui pactise avec les Maures. Il se trove dans le quartier sécurisée de Valence, à environ 3h de cheval d’ici. Camillo et moi nous nous occuperons des mercenaires. Pendant ce temps tu iras tuer ta cible. Attention, tu dois la tuer sans te faire repérer. Pour cela tu utiliseras l’arme que tout Assassin doit avoir en sa possession, la lame secrète.
Après avoir quitté la ville et embrassé sa chère Mercedes, Juan partit en compagnie de Camillo et de Fernando.
Sur le chemin, Nos 3 Assassins sont tombés dans une embuscade tendue par des mercenaires à la solde de ce riche marchand d’arme :
« Eh vous, maudits Assassins, que venaient vous faire ici ? »
A ce moment, il m’est venu une idée. Pourvus qu’ils aient compris :
« Nous sommes des Assassins exilé. Nous avons quitté la confrérie car nous ne supportions plus leur idéologie. Tenez, regardez, c’est un trophée que j’ai arraché a l’un d’eux, exclama Juan en leur brandissant sa lame secrète. »
A ce moment, Juan se retourna vers Fernando et Camillo qui avaient compris ma petite statégie.
« Bien bien bien, disait l’un des mercenaires. Suivez-nous, nous allons vous conduire a nôtre maître. »
Attendant le bon moment, Fernando, Camillo et Juan n’avaient d’autre choix que de les suivre. Arrivé sur une colline, Juan pris l’initiative de sprinter vers l’un deux (ils étaient 5 en tout) et d en tuer un. Camillo tira avec son pistolet et en neutralisa et Fernando neutralise les derniers.
« On a eu chaud ! affirma Camillo. Ton idée de nous faire passer pour des Assassins exilé n’était pas mal Juan. Cependant, je pense que pour approcher les mercenaires, il faudrait mettre leurs vêtements.
« Excellente idée, approuva Fernando. »
Juan, Camillo et Fernando se déguisèrent en mercenaires et reprirent leur route.
Arrivé à destination, les 3 Assassins virent que l’entrée de la caserne est gardé par des mercenaires Maures.
« Halte là. Déclinez votre identité !
-Nous sommes les 3 mercenaires envoyés par votre chef pour effectuer une patrouille dans la forêt. Nous avons réussi à nous débarrassé de 3 Assassins maigrelet. Malheureusement, 2 de nos hommes ont périt. Laissez-nous passer, afin que nous offrions au maître, un trophée que nous avons dépossédé.
- Hum, intéressant. Très intéressant. Bon vous pouvez passer »
Le mercenaire ouvrit la porte. Ils sont passés. Seulement Fernando voulait leur offrir un petit cadeau. A peine ont-ils passé la porte que Fernando posa une bombe de proximité qui explose après quelques secondes.
Fernando chargea à Camillo de s’occuper de la sentinelle qui est posté sur les toits. Juan partit s’occuper de sa cible.
Discrètement, Juan monte sur les toits et se dirige vers l’appartement du marchand. Arrivé sur les toits, il ouvre la fenêtre et s’insère dans la pièce. Il entendit du bruit. Un homme, plutôt jeune, une cicatrice sur l’œil, et un bras comme brûlé, une mystérieuse cape noire avec un étrange symbole en forme d’œil et une croix à l’intérieur de cet œil, discuta avec le marchand :
«Nous nous étions mis d’accord señor. Je devais vous déposer les armes devant la Cour militaires des Maures. Mais vous dites que la destination est modifiée et qu’il faut faire un voyage maritime pour les déposer. Pourquoi ce changement brut.
-Ecoutez. Ce sont les ordres de mon maître. Il faut se rendre sur l’île de Cuba. Un officier Maures vous attendra là-bas. Mon maître m’a également demandé de vous dire que si la cargaison d’arme arrive a bon port, vous aurez une prime de 500 000 dineros.
-Hélas ce n’est pas que cela me dérange, mais mon dernier bateau de cargaison a levé l’ancre ce matin à l’aube. Je n’ai plus de bateaux pour y aller.
-Nous avions prévu cela, aussi mon maître vous offre un bateau flambant neuf ainsi qu’un équipage d’élite. Nous ferions tout pour ces armes. Ne nous décevez pas »
J’écoutais attentivement leur discussion lorsque soudain je sentis une planche craquer et je suis tombé.
« Qui es-tu toi ? Décline ton identité ?
A ce moment, le marchand vit mon amulette d’Assassin :
-Un Assassin ici, gardes, occupez-vous de lui ! cria le marchand
-Pas la peine, je m’en charge. » Disait l’homme mystérieux
L’homme sortit son épée et commença à attaquer Juan. Ce dernier se relève de justesse mais n’a que pour arme une simple lame secrète.
« Abandonne, tu n’es pas digne d’être mon adversaire : cria l’homme.
-Jamais »
Juan vit un sabre à côté de lui, le prit et se défend du mieux qu’il peut. Fernando arrive en détresse et projeta l’homme à terre. Le marchand prit la fuite, et courra en direction du port de Valence où l’équipage promit par son client l’attendait. La cargaison était déjà chargée à bord et il grimpa directement dans le bateau qui commençait à avancer :
« Hasta pronto, Assassins.
-Merde. Je me demande bien où va-t-il… demanda Fernando.
-Il part en direction de l’île de Cuba, où un officier l’attendra pour recevoir la cargaison.
-Nous devons nous mettre en route. Rejoignons le repaire, préparons nos affaires, nous partons pour cuba. »
Juan pense à sa Mercedes d’amour, qui va lui manquer pendant ce long voyage.
Arrivé au repaire, Juan va dans sa chambre préparer ses affaires et il tombe sur Mercedes :
« Pourquoi mon cœur, pourquoi dois-tu partir faire un voyage aussi dangereux que long ? Que Vais-je faire sans toi ?
-Mercedes, je ne peux te prendre. Tu viens de le dire, ce voyage est dangereux. Je suis navré. Il est vrai que si je ne m’étais pas fait repérer, j’aurais pu en finir avec ce marchand dangereux et continuer à vivre avec toi. Ce voyage ne durera que 2 mois. Après ces 2 mois, je serais de retour mon cœur.
-Emmène moi je t’en supplie ! En plus que dans quelques jours ce sera mon anniversaire. Tu ne peux pas me faire ça !
J’en suis tellement navré mon ange. Il lui fait un bisou sur le front. A dans 2 mois mon cœur. Je t’écrirais souvent. »
Juan s’éclipsa, laissant Mercedes seul et en pleurs.
Sortit de sa chambre, Juan croisa Fernando :
-Juan, nous partons après-demain à l’aube. Ne sois pas en retard. J’ai moi-même choisit de partir un peu plus tard pour te laisser du temps avec cette petite. Ne me fais pas regretter ce geste !
-Gracias, señor. »
Juan court annoncer cette petite nouvelle à Mercedes. Fernando regarde Juan partir et pense à voix basse :
« Ah, l’amour. Qu’ils sont mignons ces deux-là. Mais Juan ne doit pas trop s’attacher à elle. Cela pourrait mettre en péril notre guilde. Mais bon je ne peux pas être trop exigeant. Comme il me la dit, tout ses proches sont morts et même son amour. Profite-en, Juan ! »
« Mercedes, nous ne partirons que après demain. J’aimerais qu’on en profite avant de partir
-Oh mon cœur, mais bien sûr que l’on va en profiter. Viens dans mes bras ».
Pendant ce petit temps, nos deux amoureux en ont profité énormément. Puis vint le jour du départ.
« Adios, mi amor , dis Juan à sa fiancée avec des larmes. Offre-moi un dernier baiser s’il te plaît.
-Mais bien sûr mon cœur.
-Tiens, prend cette amulette. Elle te portera chance tout le temps que je parte. Je t’offrirai mon cœur à mon retour.
-T’es si mignon mon amour.
- Juan, dépêche-toi, nous devons partir. ¡Pronto !
-J’arrive »
Et c’est ainsi que Juan part pour Cuba. Il va entamer un voyage de 3 semaines. Va-t-il supporter d’être loin de sa bien aimé ? Va-t-il réussir sa mission ?
Chapite IV : Un périple dangereux
Juan, Fernando et Camillo sont désormais sur les mers, à bord du célèbre « Santa Maria », bateau commandé par le fameux Cristóbal Colon (Christophe Colomb).
Fernando va parler avec ce dernier pour connaître les détails du temps de voyage, car Cristóbal à accepter de faire un détour par Cuba, afin d’y déposer nos Assassins.
« Mon cher, vous avez bien de la chance que nous acceptions de faire un détour par Cuba. Il faut dire que la somme de dineros que vous m’avez confié est plus qu’importante, et à permis de combler votre désire.
-Cela me touche señor. Et vous, ou comptez-vous aller ?
-J’ai décidé d’aller explorer un endroit, encore inhabité, que je déciderais de baptiser Inde, et si je trouve des êtres qui y vivent, je les appellerais indiens, ou bien indigènes. Mais, sans être trop indiscret, pourquoi avez-vous décidé d’aller à Cuba ?
-Ces raisons ne regardent que moi et mes hommes. Maintenant, señor, pourriez-vous me dire combien de temps faut-il pour se rendre à Cuba ?
-Oh, mon ami. Il faut compter entre 2 et 3 semaines. Vous faudra-t-il des hommes une fois votre périple accompli ?
-Non je vous remercie. Mes 2 hommes et moi se chargeront de notre mission. Je vous remercie encore une fois de nous avoir pris sur votre navire.
-Il n’y a pas de quoi.
-Juan, cria Fernando, peux-tu aller chercher une petite bouteille de vin que j’ai apporté pour notre ami s’il te plaît ?
-D’accord »
Juan se dirigea vers la cale ou sont entreposées les bouteilles de vins. Il chercha la petite bouteille que Fernando a mis de côté et la il vit ce qu’il n aurai pu imaginer :
« Mercedes !? Que fais-tu ici ? Pourquoi n’es tu pas resté à Valence ?
-Je ne pouvais me faire à l’idée d’être loin de toi mon amour. Viens plutôt me prendre dans tes bras.
-Et si Fernando sait que tu es ici ? Imagine sa colère. Tu n’avais pas à venir. Ce voyage est bien trop dangereux.
-Je ferais n’importe quoi pour rester à tes côtés mon cœur. Ne dis rien a Fernando je t’en supplie.
-D’accord. Reste bien caché ici. Je t’apporterais de quoi boire et manger tout les jours.
-Merci. Je t’aime beaucoup. »
Juan sortit de la cale avec la bouteille, et allait la donner a Fernando, quand soudain, le guetteur cria presque a plein poumons :
« Galère pirate à midi ! Galère pirate à midi !
-Tout à vos postes, hissez la grande voile, commanda Cristóbal. Fernando. Nous allons essayer de percuter leur navire de plein fouet. Nous commencerons par attaquer leur navire à distance. Puis nous irons aborder leur navire. Tous à vos postes. Canonniers, préparez-vous à tirer à mon commandement !
-Canon paré chef !
-Préparez-vous. Nous allons nous en débarrasser ! »
Le Santa Maria se rapproche doucement du navire ennemi. Puis il commence à se mettre de profil, afin de permettre aux canons de tirer leur boulets.
« Paré à tirer chef !
-Feu !!! »
Une salve de boulets de canons est crachée à toute vitesse, pourfendant le vent et percutant de plein fouet le bateau des pirates.
« Mettez toute la voile ! Allons les percuter ! Cria Cristóbal.
-Juan, Camillo, préparez-vous à aborder le navire.
-Oui Fernando !
-Allons-y ! »
Juan, Camillo et Fernando commencent à courir pour aller aborder le navire. Une fois arrivé, une horde de mercenaires les accueillent.
Des coups d’épée et de lames secrètes percutent le cœur de mercenaires. Soudain, l’un d’eux cogna fortement Juan à la tête le mettant à terre. Il vit sa vie défilé devant son ennemi qui tient un pistolet à la main. Camillo arrive pour le sauver mais il se prend une balle dans l’épaule, le blessant gravement.
Juan se relève, plein de colère et terrasse son adversaire.
Au laboratoire, Jorge remarque quelque chose d’étrange
« Regarde ça Violetta. On dirait que la colère de Juan à un impact sur sa synchronisation.
-Est-ce grave ?
-En quelque sorte. Si Juan ne se reprend pas, sa synchronisation risque de chuter et de le tuer. »
De retour sur le bateau. Juan n’arrive pas à se contrôler et ressens des effets sur son corps. Comme s’il brûlait de l’intérieur.
« De l’eau, vite ! Je brûle
-Où ça, demanda Fernando.
-Je ne sais pas. J’ai l’impression que quelque chose brûle mon cœur.
-Ramenez-le sur le bateau et soignez-le, vite ! Je m’occupe de Camillo »
Revenu sur le Santa Maria, L’équipage conduit Juan dans la cale où sont également entreposés des médicaments. Mercedes, qui y ait caché depuis le début, va voir son Juan, qui à l’air d’être blessé.
« Juan, ne meurs pas je t’en supplie. Je ne supporterai pas de te voir t’en aller. »
Mercedes dépose sur la bouche de son aimé, un baiser et verse une larme sur son corps.
A ce moment, Juan à l’air d’aller mieux.
« Regarde Violetta, Cette petite Mercedes à réussi à contenir la colère de Juan. Sa synchronisation remonte progressivement.
-Son amour pour lui est si pur, peut être que cela à un impact sur l’Animus.
-Voyons comment va se dérouler les évènements. »
De retour dans la cale du Santa Maria :
-Que s’est-il passé ? Demanda Juan.
-Tu crias que quelque chose te brûlai. Je t’ai simplement embrassé et tu t’es calmé.
-Finalement, tu as bien fait de venir. Tu m’as sauvé la vie merci mon amour.
-De rien…
-Que fais-tu la toi ? s’exclama Fernando. Tu t’es incrusté dans ce bateau sans permission… je devrais te punir pour cela. Mais bon je m’occuperai de toi après. Juan, viens par ici je dois te parler.
-Oui Fernando ?
-Etais-tu au courant qu’elle était ici ?
-Non non je vous le jure mentor. Je ne l’ai su que maintenant.
-Je t’ai à l’œil mon garçon. Je ne peux assurer sa responsabilité. Elle ne devait pas être ici. Bon puisqu’elle est là, autant qu’elle se rende utile.
[NOTE: ce sujet va etre modifier afin d'y inserér la suite]